Le pastafarianisme

Et si l'évolutionnisme et le créationisme avaient tout faux ? Une nouvelle théorie a vu le jour, la théorie du monstre de spaghetti volant.

Qu'en pense le Cap'tain ?

En voici un autre qui pense que décidément, les choses sont bien trop complexes pour qu'il n'y ait pas de créateur. Lire article, amusez-vous bien (peut-être que j'aurais dû mettre ce lien dans humour).

Tu sais très bien ce que j'en pense. Ou pllutôt, je crois que tu as sûrement une petite idée de ce que j'en pense. Mais je ne m'appesentirai plus désormais sur ce sujet. J'ai grandement manqué de sagesse en entrant dans cette discussion (le zéro et l'infini, dans la section blabla) sans réel intérêt. Oui, j'ai été vraiment très con. C'est pourquoi on ne m'y reprendra plus (incha'llah, comme disent mes amis S. et A.).

Mais si certains tiennent tant que ça à savoir ce que je "pense", je les invite à lire les ouvrages de René Guénon, notamment La crise du monde moderne, Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le taoïsme (qu'on complétera par la lecture de La Grande Triade, du même auteur) et enfin Formes traditionnelles et cycles cosmiques, tous aux éditions Gallimard. Je peux envisager de les prêter, mais en insistant sur le fait que j'y tiens beaucoup. Je précise également que ces lectures ne m'ont guère "influencé", car la première fois que j'ai lu un ouvrage de René Guénon, j'avais déjà expérimenté des choses qui m'ont conduit à être d'accord avec cet auteur. Et pour dernière réponse à toute tentative d'Alex d'engager une discusion à ce sujet avec moi, voici un extrait d'une note de bas de page de La crise du monde moderne, par René Guénon, celle de la page 176 de l'édition folio :

Citation :

(...) Nous pensons d'ailleurs n'avoir qu'à nous féliciter de ce silence, qui nous évite de voir mêler à des polémiques déplaisantes des choses qui, par leur nature, doivent demeurer au dessus de toute discussion ; il y a toujours quelque chose de pénible dans le spectacle de l'incompréhension "profane", bien que la vérité de la "doctrine sacrée" soit assurément, en ele-même, trop haute pour en subir les atteintes.