On a eu Mitterrand, qui s'est montré très fort pour faire entrer sa carrure romanesque dans l'histoire. On a eu Chirac, un type très fort pour se faire élire, même dans les situations les plus désespérées. Il est fort possible qu'on aura Sarkozy, très fort, lui, pour communiquer et bien se faire voir par la presse, et de passer pour un type très efficace alors qu'il n'a rien réussi ni pour Balladur, ni à Neuilly, ni à Bercy, ni place Beauveau, ni à la tête de l'UMP.
Un jour, peut-être, on aura un président qui sera très fort pour présider le pays.