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| | Orage | |
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Auteur | Message |
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Mawie Logorrhéique talonnesque
Nombre de messages : 663 Localisation : Boite à Kickers Date d'inscription : 07/01/2005
| Sujet: Re: Orage Ven 18 Fév - 23:34 | |
| Et bien je saurais mal vous répondre étant donné que je me pose les mêmes questions que Claire, tout çà est nébuleux dans ma bobine ^^ Et puis je rechigne à acheter un Guide des Castors-juniors-écrivains, je suis traumatisée par les graphiques abscisses/ordonnées évaluant Shakespeare, dans Le Cercle des Poètes Disparus Pour Claire, j'ai souvent l'impression de litotes, d'abstractions, comme si tu ne te donnais pas le droit d'être en "possession" de ta vie. La litote permet d'omettre, de suggérer énigmatiquement, pour frapper les esprits, attiser les sens et la signification. Selon moi c'est le plus forte figure de rhétorique. Mais elle peut aussi être censure, puisque c'est s’abstenir de dire la vérité, mettre à mort délibérément, à la fois symbolique et réel. Pour les fragments, je suis comme toi, et de toutes façons, ce genre fait florès : Cioran, Kafka, Canetti, Krauss, Bataille, Blanchot, Leiris, Baudelaire, Michaux, Valéry, sans parler des fragments amoureux de Barthes Ce que je vois chez vous, au niveau formel, c'est un retour rythmique de thèmes et de formulations. Cela confirme le caractère spécifiquement "musical" (lyrique) et "conceptuel" de la pensée qui s'y loge. Une récurrence, donc une obsession, mais jamais nommée. Je ne suis pas douée pour la critique J'ai suivi l'an dernier des cours sur "l'enjeu du je" au cinéma, mais j'avais essentiellement concentré mes recherches sur la littérature. Alors ce qu'il m'en reste, hormis des morpions dans les marges... Je vous copie-colle (désolée, manque de temps ) quelques extraits de mes notules susceptibles de répondre à vos questions À l’orée de toute autobiographie selon la tradition, il y aura l’assurance d’un je m’exprime qui tire sa force persuasive de l’identité inchangée de ce qui est au départ, ce sujet, et de ce qu’il en advient, ce moi écrit. Le déjà-vécu pèse de tout son poids sur cette graphie à laquelle il semble interdire toute autre fonction que d’enregistrement. Mystique ou laïque, l’autobiographie doit toujours passer par le récit d’une conversion qui la légitime. Ce qui est frappant dans les récits de désabusement politique où le sujet exhibe les marques de son arrachement à l’erreur. "Parler d’histoire de vie, c’est présupposer au moins, et ce n’est pas rien, que la vie est une histoire" (P. Bourdieu, Actes de la recherche en sciences sociales , juin 1986). Il semble qu’on puisse distinguer au sein de l’entreprise autobiographique un projet autoportraitiste, dont le trait essentiel serait le choix d’une syntaxe thématique et analogique au lieu du récit chronologique. C’est plutôt dans la fragmentation, l’addition, la relation métaphorique ou métonymique ("tracer des pistes joignant entre elles deux éléments", note Leiris) que l’autoportraitiste cherche à représenter cet irreprésentable, ce mobile, ce passage qu’il est, qu’il n’est pas. Même s’il commence par penser l’identité comme conformité à soi, l’autoportraitiste constate qu’il ne pourra jamais que consigner son hétérogénéité, dénombrer ses variances. L’autoportraitiste n’envisagera donc l’authenticité que comme stratégie ou comme mythe, lui qui ne se consacre qu’à l’expertise de ses alibis et du corpus textuels et culturels qui le constitue. Michel Beaujour (Miroirs d’encre ) a montré d’une manière décisive comment l’autoportrait se réfère au modèle médiéval du speculum encyclopédique, se nourrit de lieux communs et de citations. Pavé dans la mare de la transparence autobiographique, l’autoportrait en désigne ainsi les strates et l’opacité. (...) À l’idéologie du sujet succède celle du récit de vie où les déterminations sociales, géographiques, historiques et politiques semblent l’emporter sur la problématique de la personne. Envisager la constitution d’un corpus aussi diversifié dans ses origines (autobiographies d’instituteurs, d’artisans, de commerçants, d’industriels) que dans ses formes: livres de raison, livres de comptes, mémoires de vie privée, correspondances, notices biographiques, curriculum vitae, etc. Par-delà la fascination pour le "terrain", les "faits de première main", l’oralité, le "vécu", l’ensemble de ces pratiques témoigne de la (bonne) volonté d’avoir accès direct à la réalité sociale par la médiation "immédiate" de la vie individuelle. On sera amené à s’interroger sur la posture autobiographique du sujet, sur les légitimités qui l’autorisent, les légitimations qu’il cherche, les codes narratifs qu’il reproduit pour y inscrire paradoxalement son originalité. Au mieux, le mimétisme de l’écriture confie "le langage d’une aventure à l’aventure du langage" pour faire écho joyeusement dans le jeu des mots et des sons à l’euphorie du décodage de ce qui fut naguère le grand secret (Serge Doubrovsky, Fils , 1977). (...) L’utilisation des concepts et des processus heuristiques de la psychanalyse dans le récit de (sa) vie signale du moins que toute autobiographie n’est peut-être à son tour qu’un récit-écran élaboré pour être substitué à un autre. La fonction protectrice de l’écriture ne serait jamais aussi efficace que dans le cadre dramatisé d’une mise à nu, sa fonction dilatoire jamais aussi présente que lorsque tout semble avoir été dit. Lacan rappelle avec force le caractère interlocutoire de l’énonciation où le sujet s’expose à "une dépossession toujours plus grande de cet être de lui-même", jusqu’à "reconnaître que cet être n’a jamais été que son œuvre dans l’imaginaire et que cette œuvre déçoit en lui toute certitude. Car, dans ce travail qu’il fait de la reconstruire pour un autre , il retrouve l’aliénation fondamentale qui la lui a fait construire comme une autre , et qui l’a toujours destinée à lui être dérobé par un autre " ("Fonction et champ de la parole et du langage", in Écrits ). La question de l’autobiographie débouche nécessairement sur celle de l’inénarrable de cet ego ("variable de présence constante", dit Valéry) qui ne mesure que l’intervalle qui l’écarte de soi, la mobilité qui le distrait, l’infinitésimal où s’émiette l’identité. "J’aligne des phrases, note Leiris, j’accumule des mots et des figures de langage, mais, dans chacune de ces pages, ce qui se prend, c’est toujours l’ombre et non la proie" (Biffures , 1948). (...) L’autoportrait exhibe sa discontinuité et son style haché (chapitres), où le sujet ne peut se constituer qu’entre les images, comme un ectoplasme L’autoportrait ne fait pas le deuil de son œuvre toujours inachevée. Il y a postulat d’identité, de sincérité et de subjectivité. Aussi, bon, je n'aime pas tous ces gens qui pratiquent l'autobiographie comme catharsis, mais c'est le principe même de tout écrit, fictionnel ou pas. Je vais surement ma prendre une baffe et me faire traîter de nombriliste lacanienne (NANNNN !!!), mais voici mes leitmotivs : "Le langage est le levier des traumatismes inconscients." "Là où c’était je dois advenir" "Je dois occuper le lieu de ce "là"" (retour et procès) Et puis parler de soi c'est parler aux/des autres, sinon pourquoi cette impression de communication et de projections que j'éprouve en vous lisant ? Et bien là j'ai fais dans le fragmentaire J'essaierai de rééditer un truc plus cohérent ce weeko. | |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 0:35 | |
| - Lasthénie a écrit:
- Lacan rappelle avec force le caractère interlocutoire de l’énonciation où le sujet s’expose à "une dépossession toujours plus grande de cet être de lui-même", jusqu’à "reconnaître que cet être n’a jamais été que son œuvre dans l’imaginaire et que cette œuvre déçoit en lui toute certitude. Car, dans ce travail qu’il fait de la reconstruire pour un autre , il retrouve l’aliénation fondamentale qui la lui a fait construire comme une autre , et qui l’a toujours destinée à lui être dérobé par un autre " ("Fonction et champ de la parole et du langage", in Écrits ).
Je est un autre, formule rimbaldienne resservie par Lejeune dans son ouvrage du même titre. C'est un leitmotiv que celui du vécu et celui de la biographie. Si ce Je est un autre ce n'est pas parce qu'il a, dans sa façon énonciative, des instances multiples (par exemple l'adulte qui se raconte enfant ou qui imagine reprendre mot pour mot la pensée ou les discours qu'ont eus ses proches) mais c'est que tout récit de vie n'est qu'une reprise ou une transformation de formes de vie a priori ayant existé, par le discours des autres ou dans les autres (le récit de la maissance fait par les parents par exemple) Il y a toujours au moins, deux auteurs, à cause de la distance entre vécu et moment de l'écriture, notamment dans le récit d'enfance, fait par l'auteur adulte. Là où la première personne se veut pleine, raisonnée, légitime, passant à la parole comme preuve d'authenticité (puisque de vécu) il y a un très grand jeu, spectacle, théâtre -insconscient peut-être- où l'on se met en scène puisqu'on (se) donne à voir. Le fait d'être lu, à mon sens, applique une sorte de filtre(s), pour plaire ou chercher à provoquer, interpeller, marquer son originalité. Mais qu'en est-il en réalité? Intéressant...et très mystérieux, ne serait-ce qu'à l'aune de la vie que l'on mène sur un forum (ce que l'on donne à voir de soi par ses posts) et le décalage qu'il peut y avoir avec la vie réelle, pour certaines personnes. * @ Lasth Tu as posté ce message juste au moment où je m'apprêtais à écrire: "Mais qu'est-ce que tu veux dire?" :lol:* ceci dit, pour être honnête, je n'ai pas tout compris. |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 0:42 | |
| - Lasthénie a écrit:
- Pour Claire, j'ai souvent l'impression de litotes, d'abstractions, comme si tu ne te donnais pas le droit d'être en "possession" de ta vie.
Une manière de dire les choses sans ce "je" qui m'emmerde souvent, parce que nous sommes en plein dans la société du "paraître", donc du "je" constant... - Citation :
- La litote permet d'omettre, de suggérer énigmatiquement, pour frapper les esprits, attiser les sens et la signification. Selon moi c'est le plus forte figure de rhétorique.
Mais elle peut aussi être censure, puisque c'est s’abstenir de dire la vérité, mettre à mort délibérément, à la fois symbolique et réel. Pour moi, c'est la possibilité de dire une déchirure en "prose poétique" - Citation :
- Ce que je vois chez vous, au niveau formel, c'est un retour rythmique de thèmes et de formulations. Cela confirme le caractère spécifiquement "musical" (lyrique) et "conceptuel" de la pensée qui s'y loge. Une récurrence, donc une obsession, mais jamais nommée.
Oui, sans doute. [/quote] | |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 69 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 16:01 | |
| Va falloir établir des quotas de mots à trois et quatre syllabes, dans cette section… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 16:15 | |
| Dommage ! Il ya pas ni orage dans l'air ni d'eau dans l'gaz. C'est parti pour la blablaterie. Lasthénie va nous filer les polycops ! Au pif dans l'art d'écrire d'Etiemble : Le signe de l'homme dans l'oeuvre intellectuelle, c'est la pensée. La Pensée est l'homme même. Le style est la pensée même. Quelle mine ce livre ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 16:20 | |
| - Clair Obscur a écrit:
- Allez, Miss... disons Odile et Marc, et n'en parlons plus ! :lol: :lol: :lol:
Je ne cale pas ces noms sont imbuvables ! cela fait trop Arlequin ! |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 69 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 16:23 | |
| - Coldfingers a écrit:
- Clair Obscur a écrit:
- Allez, Miss... disons Odile et Marc, et n'en parlons plus ! :lol: :lol: :lol:
Je ne cale pas ces noms sont imbuvables ! cela fait trop Arlequin ! Odilon et Marca, alors. | |
| | | Bidouille Logorrhéique talonnesque
Nombre de messages : 989 Localisation : Beauce Date d'inscription : 15/10/2004
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 16:45 | |
| J'ai lu vos remarques et vos questions, je n'ai pas tout assimilé, mais il y a une question qui me vient
comment un petit texte sans prétention, juste une histoire romancée n'ayant aucun rapport ni avec moi, ni avec une partie de ma vie, sinon la montagne que j'aime énormément, peut entraîner une telle profusion de réactions, sur le "je".
D'après vos dires, il aurait été plus juste que je rapporte cette histoire à mon je à moi, autrement dit qu'au lieu d'Odile et Marc, je me lance dans un je narratoire m'investissant dansle rôle principal.
C'est amusant, ce texte a plus de dix ans, je l'avais écrit d'un trait, sur une idée spontanée et ne l'ai pratiquement pas corrigé depuis, sauf retiré la conclusion, qui ramenait à la réalité.
Oui Cold tu as raison, Odile et Marc c'est nase, mais le texte n'y trouverait pas une meilleure écriture à utiliser des prénoms moins communs.
Pour aller dans le sens de Clair et sur mon moi, il y a deux sortes d'écriture, l'invention pure et simple née de l'imagination, dans laquelle on met une dose infime d'instants vécus, pour agrémenter l'histoire et la rendre plausible ou lisible. Et il y a cette envie de SE raconter, plus difficile, car cela met en oeuvre son soi le plus profond, c'est un risque de sombrer dans un journal intime sordide ou mièvre, voire faire preuve de sensiblerie mièvre.
Pour se raconter il faut avoir vécu des choses racontables, sinon à quoi cela sert-il ?
Enfin, pourquoi utiliser obligatoirement le "je" lyrique quand on ne veut pas parler de soi-même ? Utiliser le "je" en voulant rester en dehors est un danger de se laisser aller à justement s'investir un peu trop là où l'on veut rester neutre. |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 17:31 | |
| - d'Etiemble a écrit:
- :
Le style est la pensée même.
Le style, c'est l'homme lui-même. Buffon Ce qui n'est ni faux ni vrai sauf conditionné. (c'est un mot de 4 syllabes) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 19:09 | |
| - Dona a écrit:
- d'Etiemble a écrit:
- :
Le style est la pensée même.
Le style, c'est l'homme lui-même. Buffon
Ce qui n'est ni faux ni vrai sauf conditionné. (c'est un mot de 4 syllabes) Conditionné idéo logiquement ( pour faire plaisir a fulmi ) (hé fulmi, comment je le prononce ton pseudo , fulmi à la pinsutu ou foul'mi avec l'accent tonique sur i ?) le terrien n'échappe pas à ce destin funeste de n'être lui qu'en faible partie. Je réitère ma pub pour mon cher précieux Etiemble ! Lisez-le merdre ! @ Misstick : Je continue de penser que ces deux noms ne vont pas du tout dans ce texte, parce que trop plats. À la limite Marc, pourquoi pas, mais Odile, plus culcul tu deal. Une chtite dernière ( sûrement pas)... Karamzine.... voulez-vous devenir écrivain ? lisez l'histoire des souffrances humaines ; si votre coeur ne saigne point, laissez tomber la plume - car elle montrerait que votre âme est lugubrement frigide. je cite cela car tout le laïus de lasthénie était ( qu'elle m'excuse car ce n'est pas semble-t-il son tempérament) lugubrement frigide ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 20:02 | |
| C'est de plus en plus touffu ...
Bien donc suite à vos remarques, je réécris Orage ...
Et j'attendrai vos remarques |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 20:26 | |
| - Misstick a écrit:
- C'est de plus en plus touffu ...
Bien donc suite à vos remarques, je réécris Orage ...
Et j'attendrai vos remarques NANNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pas réécrire ! Odile a virer c'est tout ! elle minerve cette Odile ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Sam 19 Fév - 20:32 | |
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| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 69 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 18:07 | |
| - Coldfingers a écrit:
- Odile a virer c'est tout ! elle minerve cette Odile !
T'as qu'à faire un copié-collé, et rechercher/replacer Odile par, par exemple, Olida, et c'est dans la poche, t'as plus d'Odile et t'as Olida. Qu'est-ce qu'on dit ? : — Merci, Fulmi ! | |
| | | Bidouille Logorrhéique talonnesque
Nombre de messages : 989 Localisation : Beauce Date d'inscription : 15/10/2004
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 18:18 | |
| ça fait un peu pâté non Olida ? :lol: | |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 69 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 18:29 | |
| - Bidouille a écrit:
- ça fait un peu pâté non Olida ? :lol:
Oui. Et je verrais bien l'Orage, avec Bolino et Olida, écrit comme un rap. | |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 69 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 18:34 | |
| - Coldfingers a écrit:
- (hé fulmi, comment je le prononce ton pseudo , fulmi à la pinsutu ou foul'mi avec l'accent tonique sur i ?) le terrien n'échappe pas à ce destin funeste de n'être lui qu'en faible partie.
Tu fais comme tu veux, mon gars ! J'aime bien les langues étrangères. Pour ton info, c'est l'abbréviation de : fulmicoton, nom vulgaire de la nitrocellulose, aussi appelée soie de belle-mère, connue pour ses qualité explosives (mélangée à de la nitroglycérine, cela donne la dynamite). C'est donc un mot français. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 19:05 | |
| - Fulmi a écrit:
- Coldfingers a écrit:
- Odile a virer c'est tout ! elle minerve cette Odile !
T'as qu'à faire un copié-collé, et rechercher/replacer Odile par, par exemple, Olida, et c'est dans la poche, t'as plus d'Odile et t'as Olida.
Qu'est-ce qu'on dit ? : — Merci, Fulmi ! Dis mon ch'ti fulmi t'as des idées de génie toi ! tu sais que la pub est interdite ? t'as de actions chez la marque de paté pour chien ? |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Orage Dim 20 Fév - 19:13 | |
| - Misstick a écrit:
- Fulmi a écrit:
- Coldfingers a écrit:
- Odile a virer c'est tout ! elle minerve cette Odile !
T'as qu'à faire un copié-collé, et rechercher/replacer Odile par, par exemple, Olida, et c'est dans la poche, t'as plus d'Odile et t'as Olida.
Qu'est-ce qu'on dit ? : — Merci, Fulmi ! Dis mon ch'ti fulmi t'as des idées de génie toi !
tu sais que la pub est interdite ? t'as de actions chez la marque de paté pour chien ? Meu non, c'est de l'art, qu'il te parle : Olida on Ice ! | |
| | | Mawie Logorrhéique talonnesque
Nombre de messages : 663 Localisation : Boite à Kickers Date d'inscription : 07/01/2005
| Sujet: Re: Orage Lun 21 Fév - 0:04 | |
| A Cold : rhalala, frigide et polycop', merci... J'aurais du mettre des coeurs sur les i ? Non, franchement je manquais de temps, ceci dit j'aurais pu ôter les guillemets et saupoudrer un peu d'argot, pour illusion "penseuse de Rodin" (art pour beaufs ^^) qui se chatouille le neurone et tapote un truc vite fait bien fait ? Remarque, le plagiat, je vois çà sur tous les forums Aux écrivaines : mille excuses si je vous ai un chouyati tourneboulé, j'adore votre prose et... je suis un peu perdue en fait... enfin voilà quoi, je vous admire... Bon ok je sors :arrow: :lol: | |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Orage Lun 21 Fév - 0:40 | |
| - Mawie a écrit:
- Aux écrivaines : mille excuses si je vous ai un chouyati tourneboulé
Ben non, pourquoi ? Intéressant au contraire !!! Tu peux développer, même ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Mer 23 Fév - 10:54 | |
| Bien jolie histoire Misstick, qui mériterait d'être développée et effectivement je suis d'accord avec les avis précédents, tu te positionnes en observatrice, narratrice mais c'est un peu trop "abstrait". |
| | | Mawie Logorrhéique talonnesque
Nombre de messages : 663 Localisation : Boite à Kickers Date d'inscription : 07/01/2005
| Sujet: Re: Orage Mer 23 Fév - 12:03 | |
| - Clair Obscur a écrit:
- Mawie a écrit:
- Aux écrivaines : mille excuses si je vous ai un chouyati tourneboulé
Ben non, pourquoi ? Intéressant au contraire !!! Tu peux développer, même ! Parce que c'est très difficile de se positionner, à propos et dans un texte, je cherche où mettre mes yeux moi-aussi (cf MP ) Disons que je me décentrerais un chouyati vers le hors-champ et les ellipses, que j'essaierais de cerner ce qu'il se trame "entre les actes" comme dirait V. Woolf. Traquer l'inaudible et le non-photogénique en quelque sorte, pour barioler les personnages de complexes (dans toute la polysémie du terme) Enfin, contrecarrer la ruse des personnages et des auteurs eux-mêmes, qui consiste à mettre en lumière certaines choses pour mieux en camoufler d'autres dans l'ombre. Trouer l'écran en bref (qui fait écran, psychanalytiquement parlant ^^) Bonne journée les mamzelles ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Orage Mer 23 Fév - 17:19 | |
| Ben voili voilou, texte revu et corrigé suite à vos diverses remarques.
J'espère que cette fois Cold les prénoms seront à la hauteur ... pire ya pas !
Mawie, cette version est entre tes yeux .. doucement la bouscule pas trop, elle est fragile la tiote !
Et hop ! je me lance
Suite au prochain post .... |
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| Sujet: Re: Orage | |
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| | | | Orage | |
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