A ce propos, j'ai envie d'ajouter qu'on porte en soi les marques indélébiles de ce qu'on a aimé (notamment) dans notre enfance, bien après et peut-être jusqu'au dernier jour de notre vie.
Par exemple, impossible de me défaire de mes livres de l'époque. C'est ainsi que je conserve, dans les plus précieux, une édition de Cendrillon et de Peter Pan entre autres, dont jamais je n'ai retrouvé l'équivalent sur le plan images. L'histoire, je m'en fiche un peu, ce sont les images qui me faisaient rêver, je continuais à broder autour, j'en connais tous les détails même les plus infimes et j'en rêve encore.