Albanie août 2007 - 01 Shkodër

Pimp' a écrit:

Le 4x4 et le vieux tracteur attelé (avant dernière photo p.8) résument à eux seuls les photos précédentes et le pays tel que tu nous le montres. Avancée et envie d'entrer dans le monde d'aujourd'hui, ceux qui (faute de mieux ?) perdurent comme ils peuvent. Allez hop deux à trois années de globalisation là-dessus, laminage !

Le temps que je poste mon commentaire, je n'étais plus sous la photo.

Oui je suis en train de réorganiser. Il y avait trop de photos par pages, problème de mémoire vive, alors je redistribue une photo par post.

La globalisation, ils sont en plein dedans, c'est sûr, mais ils sont partis de très bas, à la limite de la famine, à la chute du communisme, et sans aucune structure économique fiable. C'est pour cela que le voyage est passionnant. On voit l'histoire en train de se faire. En plus, ils n'ont pas la structure de pensée qui convient au monde moderne : ils ont tout à inventer.

Bonne année, miss Pimp'.

Les femmes dans la rue :

Un bâtiment genre administratif, assez brutaliste :

Un monument à la révolte de 1444, de Skanderbeg contre les Turcs. C'est l'événement le plus important de l'histoire albanaise.

Le marchand de pneus, ou monument à l'automobile.

Une maison neuve, dans la campagne, en allant vers Tirana :

Les ordures dans la rivière :

Une station-service spectaculaire :

Un ancien poste de contrôle routier, sans doute parce qu'on approche de la capitale.

Le faubourg :

Les nids d'autruche :

En approchant de Tirana, un bâtiment neuf / un transfo :

. 

La suite dans un autre chapitre : Tirana.

Deux remarques :
- il semble qu'il y ait des problèmes d'affichage des photos. Il me semble que cela vient du serveur de Free qui les héberge, auquel cas, rien d'autre à faire que de réessayer plus tard.
- On peut voir les mêmes photos sur le serveur Picasia :
http://picasaweb.google.com/francois.martini

oui, une photo ne s'affiche pas par chez moi (terrasse de café).
pour le reste merci du voyage :)

Bien mieux depuis que tu as réorganisé.

Merci pour tes voeux, idem, et comme le suggère une fine réponse alsacienne en la circonstance "et que le cul te pèles toute l'année".