Sondage | | Êtes-vous d'accord ? | Oui | | 75% | [ 3 ] | Oui | | 25% | [ 1 ] |
| Total des votes : 4 |
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| Le Saut de Sandra, d'Alejandro | |
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+11Clair Obscur Fulmimod alejandro ours impatient Anti Petit poisson rouge Hématite sapotille Bidouille Croustine Fulmi 15 participants | |
Avez-vous lu le Saut de Sandra ? | Oui | | 38% | [ 6 ] | Non | | 56% | [ 9 ] | Ne sais pas | | 6% | [ 1 ] |
| Total des votes : 16 | | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 16 Jan - 1:39 | |
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| | | Hématite Incontinent verbal
Nombre de messages : 330 Date d'inscription : 19/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 20 Jan - 23:44 | |
| Bon, ben, bientôt, peut-être, suite à un envoi fort gracieux que j'ai reçu aujourd'hui, je vais pouvoir faire mentir mon vote "non" précédemment émis... Merci beaucoup Fulmi et Alejandro. | |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Lun 24 Jan - 8:21 | |
| Ai commencé hier soir. Lu trente pages. Endormie avec un mot sur les lèvres: gé-nial! Sandra a quelque chose de détonant dès le départ. Là j'en suis au recrutement des call-girls.
Faut que ça dure encore 600 pages.
Suite dans quelques jours donc. |
| | | Linec Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 20:52 | |
| Je viens de commencer la lecture... Mon avis est à peu près celui des autres à ce que j'en ai lu sur ce sujet : j'aime beaucoup le style, j'ai très envie d'en savoir plus sur ce personnage de Sandra... Bref, j'ai hâte de lire la suite ! Je reviendrai vous donner mon avis à la fin! |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 20:54 | |
| Ah! Bonjour! |
| | | Linec Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 20:58 | |
| Salut suis toute nouvelle, ce forum a l'air sympathique et plein d'idées... Dona : as-tu lu "Le saut de Sandra" ? |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 21:00 | |
| - Linec a écrit:
- Salut suis toute nouvelle, ce forum a l'air sympathique et plein d'idées...
Dona : as-tu lu "Le saut de Sandra" ? Ah! c'est juste une question de temps...je suis en train de lire, entrecoupée de quelques lectures autres. Mais je compte le lire en entier et en parler, oui. Et toi? |
| | | Linec Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 21:04 | |
| - Dona a écrit:
- Linec a écrit:
-
Dona : as-tu lu "Le saut de Sandra" ?
Ah! c'est juste une question de temps...je suis en train de lire, entrecoupée de quelques lectures autres. Mais je compte le lire en entier et en parler, oui.
Et toi? p68 seulement mais je suis motivée pour la suite... |
| | | sapotille Incontinent verbal
Nombre de messages : 486 Localisation : pour venir me rendre visite? mp Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Dim 6 Fév - 21:15 | |
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| | | Hématite Incontinent verbal
Nombre de messages : 330 Date d'inscription : 19/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Lun 7 Fév - 23:25 | |
| Je poste juste histoire de faire ma rabat-joie après avoir avalé les 70 premières pages: les éditions France Europe ont fait une très belle couverture à ton ouvrage, alejandro. En revanche, leurs correcteurs ont dû te lire avec les pieds... s'ils en ont, des correcteurs! J'ai comme un doute! (à mon avis ils se sont contentés de faire confiance au correcteur de Word les yeux fermés. Qu'est-ce que j'avais dit sur tonton Word, hein, kessjavédi? )pour tempérer ce post un peu revêche, je précise que le texte, c'est pas que je m'en fous, mais on verra quand j'aurai fini. | |
| | | Hématite Incontinent verbal
Nombre de messages : 330 Date d'inscription : 19/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Sam 12 Fév - 4:24 | |
| Eh bien ça y est, j'ai fini. Ca ne va pas être facile pour moi de passer derrière mes aînés Fulmi, Coline et Croustine, qui tous ont donné des analyses justes et intéressantes. Je risque de répéter leurs éloges et leurs réserves. L'après-midi où j'ai ouvert ce gros pavé, j'étais au travail, sur ma plateforme téléphonique du service-où-on-se-fait-gueuler-dessus-par-les-clients-remontés (bon, j'exagère, ils ne sont pas tous aussi agressifs... mais quand même). Pour un auteur, c'est toujours un challenge d'accrocher l'attention d'un lecteur en général. Le challenge est encore plus vif quand le lecteur en question lit au boulot, par intermittences, ouvrant et refermant l'ouvrage au gré de l'arrivée des appels sur son poste, dans une salle bourrée d'une douzaine de téléphones déchaînés. Aussi ai-je eu beaucoup de mal à entrer dans les premières pages. Ca parlait finance et rachat d'entreprise, je ne comprends pas grand-chose à ces choses-là, j'ai dû forcer un surcroît d'attention. Peu à peu, à force de relire les mêmes paragraphes entre deux conversations téléphoniques, le brouillard s'éclaircit: par le biais d'Odile, la narratrice française, on comprend peu à peu les enjeux du week-end qui suit à Oslo. Deux hommes d'affaires Allemands sont attendus pour un gros contrat, et il s'agit, pour les Norvégiens et les Français qui occuperont l'autre côté de la table des négociations, de chouchouter ces messieurs, notamment en leur trouvant des accompagnatrices de charme. L'une est toute trouvée, mais il devient de plus en plus difficile de trouver une candidate d'envergure pour escorter le big boss Allemand (avec les dernières persécutions policières, peu de prostituées osent montrer le bout de leur croupe...). En désespoir de cause, les Norvégiens se rabattent à la dernière minute sur un joker risqué: une call-girl réputée époustouflante... mais âgée seulement de 16 ans (bien que clamant, du haut de sa silhouette exceptionnellement menue, en avoir 19). Et c'est là que Sandra entre en scène. Le lecteur, qui jusque-là rôdait à pas hésitants autour de l'histoire sans y entrer, franchit le seuil, presque par inadvertance, lorsqu'apparaît ce personnage fascinant et troublant que l'on devine mi-femme mi-enfant, mi-ange mi-succube, et encore pleine de mystères pour nous. Ses premières paroles, ses premiers gestes, captivent l'attention de toute la tablée au restaurant. La nôtre aussi, du coup. On ne le sait peut-être pas encore, on croit encore regarder l'histoire "de haut", mais la magie du personnage nous prend déjà et ne nous lâchera plus. En quelques paragraphes, on pressent l'intelligence et la culture hors normes de la jeune fille, sa facilité à retourner une situation à son avantage, son aplomb peu commun; le tout sans jamais sombrer dans la caricature ou l'invraisemblance, sans virer à la pimbêche; sa spontanéité, son espièglerie, viennent tempérer ce que sa séduction pourrait avoir de trop adulte. L'épisode Oslo prend fin au bout de 100 pages. Bien qu'une dizaine de personnages soient en scène, on a guetté sans y penser la réapparition de Sandra plus souvent que celle des autres. On est fasciné par le contraste entre son éducation raffinée et le métier peu recommandable qu'elle exerce; on a déjà envie d'en savoir plus sur ses motivations. On est pris, amusé, séduit, intrigué, pas encore hypnotisé. On va l'être, rapidement. On entre ensuite dans la partie centrale (ma préférée): celle où Sandra, principale narratrice, raconte son enfance et sa carrière dans une longue interview. On est tour à tour attendri, bousculé, ébloui, dépassé par ce personnage incroyable. Sandra n'est pas à proprement parler un personnage facile à vivre: on peut se sentir choqué par son comportement libre, sans tabous ni morale, par ses coups de gueule, ses excès. Mais qu'elle emballe ou inspire méfiance, Sandra ne peut laisser indifférent. Elle est entière, directe, ardente, intrépide, fière, passionnée, débordante de vitalité, avide et curieuse d'explorer les moindres détours de la vie. On suit l'odyssée hétéroclite et bondissante de ce personnage depuis les tremplins de saut à skis de Norvège et d'ailleurs jusqu'aux bordels sordides de Bruxelles, depuis les pianos-bars des capitales européennes jusqu'aux forêts nordiques où rôde le loup sauvage. Le mieux est que l'histoire n'est pas linéaire, mais forme "une spirale" (je reprends le terme de Croustine, je crois) dont Sandra est le centre, toujours proche, mais jamais complètement accessible. Les repères temporels ne sont pas alignés, la multiplicité des points de vue sert remarquablement la richesse du personnage de l'héroïne. Seule la fin rompt le rythme de lecture... la tension retombe un peu... l'impression générale reste cependant pleine de trempe. (si vous n'avez pas lu, ne lisez peut-être pas encore ce qui suit, par crainte de vous gâcher quelques surprises) Personnellement - et là je ne vais parler qu'en mon nom, en laissant tomber pour un temps le point de vue objectif pour glisser vers l'affectif - je comprends que l'on puisse se sentir choqué par l'attitude de Sandra, par moments, même si en général cela n'a pas été mon cas. Mais, quand l'héroïne, ayant besoin d'une somme énorme pour aller étudier une technique de saut au Japon, et n'ayant aucun moyen sauf la prostitution pour parvenir à ses fins dans les temps, se dit "bon, ben, faisons la pute" j'ai eu un élan d'admiration, une envie d'applaudir. Mais ça, c'est tout à fait personnel: je suis fascinée par les gens prêts à tout pour réaliser leurs rêves. A vrai dire, le personnage créé par Alejandro est trop plein, trop surdoué, trop fougueux pour que l'humble lecteur moyen puisse s'y identifier totalement. Ses faiblesses et ses défauts rendent Sandra crédible et vivante, mais, définitivement, elle reste hors de portée. D'aucuns diraient qu'ils préfèrent les ouvrages peuplés par des êtres mesurés, plus à même d'être reconnus par nous, plus "réalistes". Pour ma part je crois qu'il est bon de voir surgir de temps à autre ce type de personnage extrême. De même que la marque du record nargue de loin le sauteur en lui disant "si tu sautes assez loin, tu pourras m'atteindre" de même des personnages comme Sandra semblent nous faire signe depuis l'autre bout du papier: " si tu t'en donnes les moyens, voilà jusqu'où tu peux aller, voilà de quelle façon tu peux vivre". Ces personnages représentent moins notre réalité que notre potentiel poussé à son point le plus reculé, le plus inaccessible. Généralement, il est rare de construire de tels caractères sans sombrer dans l'invraisemblance, la caricature ou pis: dans l'insupportable. Je suis contente d'en avoir rencontré un qui tienne vraiment la route à travers ce roman. Je me suis beaucoup attachée à Sandra, je l'ai admirée, et, au cours de quelques instants éclairs, j'aurai eu envie d' "être elle". Si j'avais été un lecteur masculin, je pense que - pardonnez-moi - j'aurais eu, en miroir, le souhait par éclairs de me la "sauter". Autre chose: les bouquins "sympas", ou "captivants", ou "passionnants jusqu'à la dernière ligne", j'en ai tout de même rencontré pas mal. En revanche, en tant que personne qui écrit, il y a quelque chose que l'on rencontre plus rarement au cours d'une lecture et que, je l'avoue, j'ai rencontré: l'élan d'admiration incontrôlé, doublé infailliblement de la toute petite piqûre de jalousie qui souffle "ah, bordel de désespoir, pourquoi faut-il que ce soit d'un autre, pas de moi". (En l'occurrence, la piqûre était due au fait que j'aime les personnages - bons ou mauvais, peu importe - dotés de forte trempe, et que je trouvais l'héroïne très puissamment campée par la plume de l'auteur.) La plupart des lecteurs eux-mêmes teneurs de plumes savent combien cette émotion est rare, et encore plus difficile à reconnaître et à assumer. Pour revenir à plus d'objectivité, je ne pense pas que ce roman soit néanmoins un chef-d'oeuvre. Par endroits, il y a des faiblesses de style, quelques lourdeurs, quelques développements peut-être superflus; puis quelques petites maladresses de composition? (la troisième partie?) mais l'ensemble, surtout la partie centrale, reste ébouriffant. A vrai dire, la seule chose qui m'a empêchée de relire certains passages après avoir tourné la dernière page, est que je me suis empressée de refiler le roman à un de mes meilleurs amis. La seconde raison pour laquelle je pense - j'espère - que "Sandra" n'est PAS un chef-d'oeuvre - c'est que - et là je profite de mon admission toute fraîche à l'école des correcteurs pour me la péter un poil - c'est que la véritable définition d'un chef-d'oeuvre est normalement la suivante: non pas simplement "une oeuvre impeccablement réussie" mais "l'oeuvre la plus réussie dans la vie d'un seul auteur" (ainsi, en théorie, on ne devrait pas dire "LES chefs-d'oeuvre d'Hugo", par exemple, il serait censé n'en avoir qu'un.) Si "Le saut de Sandra" est un excellent roman, je ne souhaite cependant pas qu'il soit LE chef-d'oeuvre d'Alejandro; rien n'empêche celui-ci de reprendre de l'élan pour "sauter plus loin" avec son prochain roman, quel qu'il soit. Dans tous les cas, et contrairement à sa sauteuse à skis, j'espère qu'Alejandro attendra encore un bon moment pour "quitter la compétition". | |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Sam 12 Fév - 11:23 | |
| Ah...Interdite de séjour pour ce post...je suis en plein dans Le Saut... |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 15:13 | |
| A moitié, je suis. J'ai la phobie du ski, des montagnes, j'ai horreur de la neige et je n'aime pas bien le froid et c'est la discipline olympique que je ne regarde jamais. Donc, je suis servie. Je suis interloquée par cette fille, Sandra: elle m'irrite. Sa pseudo liberté ostentatoire me laisse penser que c'est une gamine. Il me reste encore la moitié à lire avant de poster des choses sensées sur ce fil. Mais un personnage irritant à souhait -comme je le disais- vaut mieux qu'un héros fantoche qu'on oublie dès le livre fini. Sinon, ça me semble bien écrit: il y a une méthode réaliste que j'avais déjà observée dans la nouvelle "Mélanie", notamment le procédé de l'interview qui renforce l'effet de réel et également parce qu'il ne met -en apparence- aucune distance entre le personnage et le lecteur. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 15:48 | |
| @ dona : Comme je te comprends ! je déteste le ski et la neige ! et ............................................................les gens froids, en général |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:06 | |
| Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu'il y a à lire ! pour vous donner un ordre d'idée : Tcheng Pan K'iao les épitres de Soumarokov Ibn Qotaiba La correspondance de Flaubert il faut que je relise absolument Pasternak c'est ce con de Finkielkraut qui m'a mis l'eau à la bouche ( putain ya plein de neige dans ce livre je vais en baver sec !) le pire c'est la chanson de Lara, quelle merdre ! et les carnets d'Henri James... Michel Leiris le ruban d'Olympia je ne peux pas y couper ! Toute la collection imaginaire de Gallimard est à revoir beaucoup à relire ! Pas le temps pour les têtes de gondoles Ah oui, et je patauge avec la Vie des saints de l'Abbé Darras Alors pas le temps de me sauter Sandra ! La vie est hyper dure.... |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 70 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:15 | |
| - Coldfingers a écrit:
- Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu'il y a à lire !
(...)
Alors pas le temps de me sauter Sandra !
La vie est hyper dure.... De fait je me disais la même chose de tes soliloques d'excité. | |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:21 | |
| - Coldfingers a écrit:
- Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu'il y a à lire !
Pas le temps pour les têtes de gondoles
Alors pas le temps de me sauter Sandra !
La vie est hyper dure.... Cooooold !!!! S'il te plaît, tu lis avant, tu dis après, bon sang ! Tu ne peux pas assassiner quelqu'un comme ça, sans savoir, c'est pas chouette, là... On peut aimer ou pas, mais encore faut-il pouvoir dire ce qui a plu ou déplu. | |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 70 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:27 | |
| - Clair Obscur a écrit:
- Cooooold !!!! S'il te plaît, tu lis avant, tu dis après, bon sang !
Tu ne peux pas assassiner quelqu'un comme ça, sans savoir, c'est pas chouette, là... On peut aimer ou pas, mais encore faut-il pouvoir dire ce qui a plu ou déplu. Il ne te dit pas qu'il a aimé ou pas, il te dit que le Saut n'a pas assez d'intérêt pour lui. Tandis que les lettres de Flaubert à ses amantes, ça, ça en a. C'est ce qu'on appelle la pédanterie. Alejandro n'étant pas classé dans les auteurs sérieux, aucun intérêt de s'y intéresser. On ne peut pas briller en société ni écrire des messsages sans queue ni tête mais truffés de points d'exclamations superfétatoires avec le Saut de Sandra, tandis qu'avec Flaubert ! Tu vois le genre ?!? Proust, ma chère ! C'est tellement classe, d'azvor lu la corrrespondance de Flaubert, Il est si génial, cet auteur !!!!!!............................... Si tellement plus génial dans ses lettres que dans ses romans !!!!!!! Et c'est encore plus génial d'annoncer qu'on va la lire ! Quatre volumes épais de la Pléïade ! On se sent un héros ! Et je m'y connais en héroïsme ! En plus ça évite d'avoir à la lire, que d'annoncer qu'on va la lire !!!!!!!!! Tu crois pas ???????
Dernière édition par le Jeu 17 Fév - 16:42, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:33 | |
| - Clair Obscur a écrit:
Cooooold !!!! S'il te plaît, tu lis avant, tu dis après, bon sang ! Tu ne peux pas assassiner quelqu'un comme ça, sans savoir, c'est pas chouette, là... On peut aimer ou pas, mais encore faut-il pouvoir dire ce qui a plu ou déplu. Alors là je suis d'accord avec toi, la lecture quelle qu'elle soit n'est jamais une perte de temps ... on n'en retire toujours quelque chose ... leçon dans tous les sens du terme ! Cold là tu exagères ! et puis moi je n'ai pas lu, alors je ne dis rien. |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:41 | |
| - Fulmi a écrit:
- C'est ce qu'on appelle la pédanterie. Alejandro n'étant pas classé dans les auteurs sérieux, aucun intérêt de s'y intéresser.
Tu crois pas ??????? Nous avons la chance, ici, de côtoyer des gens qui se lancent chacun dans son domaine, chacun à sa vitesse, chacun à sa manière. Avant de devenir le Rambo de n'importe quel art, faut être Alejandro, ou Vilain, ou toi ou moi. Et en l'occurence, il me paraît important de lire et d'encourager, y compris et surtout dans la critique constructive. En tout point d'accord avec toi, Fulmi. | |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:42 | |
| - Coldfingers a écrit:
- Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu'il y a à lire !
Ce n'est jamais une perte de temps que de savoir d'une part, ce que l'on pense, d'autre part, de savoir pourquoi on le pense. |
| | | Clair Obscur Clavieriste confirmé(e)
Nombre de messages : 1737 Localisation : Nulle part ailleurs Date d'inscription : 21/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 16:46 | |
| - Misstick a écrit:
- et puis moi je n'ai pas lu, alors je ne dis rien.
Moi non plus je ne l'ai pas encore lu. D'ailleurs je l'attends d'un jour à l'autre. Je ne le lirai pas non plus en me disant : "Alex est un pote de Vocab". Non. Je le lirai avec ma propre sensibilité et je dirai comment je l'ai senti. Point. | |
| | | Boborot Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 17:02 | |
| [quote=\"Dona\"][quote=\"Coldfingers\"]Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu\'il y a à lire ![/quote]
Ce n\'est jamais une perte de temps que de savoir d\'une part, ce que l\'on pense, d\'autre part, de savoir pourquoi on le pense.[/quote] Pour avoir lu ce machin j\'ai abandonné en route un plat c\'est trop de cette soupe aux choux ! Coldfingers a raison. |
| | | Dona Invité
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 17:07 | |
| - Boborot a écrit:
- [quote=\"Dona\"][quote=\"Coldfingers\"]Quelle perte de temps ce genre de bouquin avec tout ce qu\'il y a à lire!
Ce n\'est jamais une perte de temps que de savoir d\'une part, ce que l\'on pense, d\'autre part, de savoir pourquoi on le pense. Pour avoir lu ce machin j\'ai abandonné en route un plat c\'est trop de cette soupe aux choux ! Coldfingers a raison. T'as un problème avec les quote/ quote non? Ce serait tout de même plus intéressant pour nous et plus constructif pour l'auteur, que de nous expliquer en quoi tu as abandonné en route le "machin".
Dernière édition par le Jeu 17 Fév - 17:12, édité 1 fois |
| | | Fulmi Prolixe infatigable
Nombre de messages : 5214 Age : 70 Date d'inscription : 16/10/2004
| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro Jeu 17 Fév - 17:10 | |
| - Dona a écrit:
- Ce serait tout de même plus intéressant pour nous et plus constructif pour l'auteur, que de nous expliquer en quoi tu as abandonné en route le "machin".
Oui, ce serait très intéressant, de lire en quelques lignes, un commentaire critique sur le Saut. Bien plus qu'une déclaration à l'emporte-pièce qui resemble fort à un troll. | |
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| Sujet: Re: Le Saut de Sandra, d'Alejandro | |
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| | | | Le Saut de Sandra, d'Alejandro | |
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